FlashForward
Un blackout total de 2 minutes et 17 secondes provoque le chaos à travers le monde. Pendant cette courte durée, chaque personne est confrontée à une vision du futur qui va changer sa vie à jamais...
Terminée | Américaine | 45 minutes |
Drame, Drama, Science-Fiction | ABC, Canal+, ABC (US) | 2009 |
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3 avis neutre
3 avis défavorable
1.01 - Black-out
No More Good Days
Un jour comme les autres tourne au chaos quand chaque habitant de la planète s'évanouit pendant deux minutes et dix-sept secondes.
Diffusion originale : 24 septembre 2009
Diffusion française :
24 septembre 2009
Réalisat.eur.rice.s :
David S. Goyer
Scénariste.s :
Brannon Braga
,
David S. Goyer
Guest.s :
Alex Kingston
,
Barry Shabaka Henley
,
Genevieve Cortese
,
Lee Thompson Young
,
Rachel Roberts
,
Seth MacFarlane
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 13 octobre 2009 à 19:49 |
Un bon pilot grâce à un gros budget. On espère que la série va trouver son univers par la suite, même s'il semble que ce ne soit pas une série très charmeuse, mais un bon gros blockbuster à l'américaine, à voir. |
Avis favorable | Déposé le 13 octobre 2009 à 00:00 |
Pilot qui possèdent de nombreux défauts mais on entre volontiers dans l'histoire et on veux voir la suite, mission accomplis donc. |
Avis favorable | Déposé le 04 octobre 2009 à 22:06 |
Un bon début |
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Je n’ai pas du tout aimé ce pilote de flash forward.
Le scénario est naze, les répliques minables, la caméra qui tourne constamment autour des acteurs et les ralentis m’ont fait penser à la série d’action allemande avec les bagnoles (série qui est juste horrible, comme toute production audiovisuelle allemande).
Mais flash forward ce n’est pas que ça, c’est aussi des acteurs indigents : le mec de « Shakespeare in love » qui a un visage tellement intense qu’on dirait qu’il fait caca pendant tout l’épisode ; la gonzesse de « lost » (qui n’avait déjà pas de charisme dans l’autre série) qui ne sait rien faire d’autre que de traîner son sourire de « joker du pauvre » durant 42 minutes ; le black « chef du fbi » avec son accent de black à la Apollo Creed, sa posture de black, ses colères de black, ses loisirs de black (regarder « Arnold et Willy » ou jouer au basket à Harlem).
Mais réduire flash forward à tout cela serait méchant car cette série c’est aussi quantité de scènes ridicules :
- shakespeare in love qui court pendant une seconde avant d’éviter de justesse un chinois qui lui barre la route, le tout filmé au ralenti avec une musique qui file la trique.
- L’asiat’ qui déduit automatiquement qu’à partir du moment où il a rien vu pendant les deux minutes, c’est qu’il est mort et bon, c'est pas bien grave.
- La tentative de suicide un peu trop « actor studio » sur l’espèce de jetée sur la mer.
- La gonzesse au sourire de joker raté qui raconte son flash forward dont on a rien à foutre qui vient remettre en cause son mariage dont on a rien à branler.
- Les textos et post-it : « you’re a crappy husband, I hate you ; I never want to see you again” sensés être rigolos.
- Shakespeare in love qui picole dans le futur tout en se battant contre sa conscience et envoyant des feuilles valdinguer parce que boire, c’est mal.
- la dernière scène faisant figure de twist où une figurante regarde pendant cinq heures des vidéos de surveillance dans des endroits choisis de façon aléatoire et arrive, en zoomant cent fois dans un stade de baseball, à trouver matrix qui se balade dans les gradins pendant que tout le monde pique un roupillon. Si ça, ce n’est pas du bidouillage à la Battlestar Galactica…
Pour résumer, je dirais que le pilote de flash forward est une merde infâme. Et je pèse mes mots.